Rayon II Amour- Sagesse
Le Deux sont le reflet de l’Un.
Le Un contient les Trois.
Les Trois sont Un, la Monade Éternelle.
Les Gémeaux gouvernent le double éthérique. Les deux Frères en Conflit
« Seul le Bouddha rencontre Bouddha « , Maître Dogen
La salutation de Paix ou le Baiser a pour origine les Gémeaux–salutation fraternelle et soeurale: « La Paix soit avec vous ».
« Sa royauté s’étend dans tous les règnes ».
L’âme est féminine, l’esprit est masculin. L’union des deux est Mercure le Divin Androgyne.
« Hamsa – Soham »
« Le cygne est la pureté du corps astral s’exprimant par l’amour pur et l’innocuité (Ahimsa). La noblesse d’esprit est la Toison d’Or (Bélier) ». (L’Eternel Féminin Sacré dans l’Ere du Verseau, Anthéa, Editions Regulus, page 125).
« Hamsa » est le mot de passe qui indique « Le Grand Cygne », l’oiseau capable de séparer le lait de l’eau (ici, le lait indique le principe éternel et l’eau le principe évanescent) ». (E. Krishnamacharya, Astrologie Spirituelle, Editions Dhanishtaha, page 102.
Hamsa est l’inspir, du Bélier (Monade-deuxième aspect) aux Gémeaux (Âtmâ-troisième aspect), mouvement descendant, « Je suis Cela ». Saham est l’expir, en réponse à Hamsa, des Gémeaux au Bélier, mouvement ascendant, « Cela, Je Suis ». « Hamsa-Saham » est l’union du masculin et du féminin, dans la tête. L’illumination qui a lieu dans l’Ajna est le résultat de cette union de l’Esprit et de la matière.
Note des Gémeaux, lorsque la dualité obscurcit la vue de l’aspirant : « Que l’instabilité soit à l’œuvre »
Mantra des Gémeaux pour le disciple éclairé : « Je reconnais mon autre soi et dans l’effacement de ce soi, je croîs et je luis », et « Les Gémeaux se meuvent vers la Balance »
Le thème de la dyade et de l’androgyne « Il est celui qui fut, qui est et qui sera, pouvoir mâle-femelle, comme le préexistant pouvoir illimité qui n’a ni commencement ni fin, car il existe dans l’Un; ce fut de ce pouvoir illimité que la pensée scellée dans l’Un, procéda tout d’abord, devenant deux…Et il advint ainsi que ce qui fut, de lui, manifesté, bien qu’étant Un, se trouva être deux, mâle et femelle, ayant la femelle en soi-même », de J.Evola, Métaphysique du sexe, p.169